Wild&Run, c’est une toute jeune marque belge qui a créé une bouchée crue et vegan. Celle-ci est destinée aux sportifs qui pratiquent des sports d’endurance en pleine nature.

Mais c’est bien plus encore…

Je vous présente WildRun, une marque belge qui débute son aventure dans le monde de l’alimentation pour sportifs ! Lancée en avril 2018, la marque a pour l’instant créé un produit unique : le chocoroc. Il s’agit d’une bouchée crue, vegan, entièrement élaborée et fabriquée à la main en Brabant wallon… et au bon goût de chocolat. 🙂

L’image des compléments alimentaires pour sportifs que je me suis construite au fil des ans est loin d’être associée à des aliments santé. A l’exception de lors de ma participation à l’Oxfam Trailkwalker en août 2016, je ne me suis jamais tournée vers des encas dits “pour les sportifs”. Mais quand j’ai décidé de marcher 100 kilomètres en mois de 30 heures (et sous 32 degrés et le soleil), impossible de ne pas passer par la case “barres pour sportifs”.

Ces barres protéinées ou ces gels achetés en packs chez Décathlon, ce n’était clairement pas mon premier choix, mais c’était la solution la plus facile. Après cette expérience peu concluante, je n’ai jamais racheté ce type d’aliments. J’ai par contre testé différentes barres crues à base de dattes, de noix, de fruis secs, etc. J’ai aussi fabriqué mes propres ‘energy balls’ et barres de céréales. Cette alternative me semblait plus sage car il m’était alors possible de choisir les ingrédients avec soin.

Cependant, j’ai rapidement constaté que ça ne me procurait pas beaucoup de plaisir de préparer les recettes associées aux billes d’énergie, aux barres de fruits secs et autres aliments dits “pour sportifs”. Par contre, cuisiner des cookies ou des brownies, des tartes ou des crumbles, c’est bien plus agréable… mais ce n’est pas forcément l’encas idéal avant, pendant ou après une séance de sport.

Un petit nouveau dans le monde des grands

Alors, quand j’ai rencontré la créatrice de Wild&Run et qu’elle m’a parlé de son Chocoroc, une bouchée crue 100% vegan destinée aux coureurs, traileurs et randonneurs, j’ai tout de suite été captivée par son projet. Parce qu’un Chocoroc, c’est avant tout un encas hyper sain, fabriqué à partir d’ingrédients du terroir – en grande partie bio – et naturel. C’est une bouchée homemade : pas d’ingrédients chimiques inutiles, que du bon, que du frais.

Anne-Christine Gouder, créatrice de Wild&Run, a élaboré la recette pour que la bouchée soit parfaitement adaptée à la pratique sportive. “Le chocoroc est présenté dans un format de 2 x 30 grammes. Un demi chocoroc (c’est-à-dire 30g) est amplement suffisant pour permettre au corps de se nourrir avant, pendant ou après un effort physique”. Il s’agit donc d’un carré, pré-découpé en 2, qui peut facilement s’emporter et se manger en toutes circonstances.

“Notre snack est à base de dattes et de fruits secs (noix, noisettes, pistaches), le chocolat et les oranges confites sont là pour le plaisir. Les ingrédients sont bio ou issu du terroir. Nous fabriquons en petites quantités et à dates fixes, pour garantir une fraîcheur exceptionnelle.” Captivée par le projet, mais surtout rapidement convaincue par ce dernier en testant le fameux chocoroc !

Le test : très bon et concluant

Premier constat : son goût est délicieux ! Il goûte le chocolat sans être écœurant. Au final, même s’il s’adresse principalement aux sportifs qui s’exercent dans la nature (d’où le nom “wild”) et à ceux qui pratiquent des sports d’endurance (d’où le nom “run”), le Chocoroc peut être mangé en de nombreuses autres circonstances. Avant ou après une séance de fitness, comme encas en fin de matinée pour tenir jusqu’au lunch ou comme goûter l’après-midi, etc.

Je l’ai testé avant et après un effort physique. Avant, il permet de se donner un petit coup de boost en amont d’une séance de sport, sans se tracasser d’avoir mangé un repas correct avant l’effort. Pour ma part, si je n’ai pas le temps de prendre un petit-déjeuner avant de partir courir ou d’aller m’entraîner à la salle de fitness, le chocoroc me sauce la vie. Après, il est idéal pour récupérer rapidement lorsque l’on se lance dans une course de plus de 10 kms. Je termine souvent ma sortie longue du dimanche (en général en 12 et 15 kms de course) en dévorant une bouchée Wild&Run.

Les avantages : le chocoroc peut remplacer les yeux fermés les barres ou les billes d’énergie que l’on fabrique soi-même. Sa composition est irréprochable et il est préparé de manière artisanale. C’est un véritable gain de temps, et c’est aussi l’assurance de manger quelque chose qui a été spécialement conçu pour aider le corps à gérer un effort physique. En outre, le chocoroc se congèle : idéal donc pour en faire un stock et en avoir toujours sous la main !

Comment se le procurer et le transporter ?

A l’heure actuelle, il existe deux formats de vente :

• le chocoroc simple, qui se présente dans un format carré pré-découpé de 2 x 30 grammes (60 grammes au total) et vendu au prix de 6 euros.

• le bloc de chocoroc, qui se présente dans un format rectangulaire de 300 grammes et qui permet donc de découper manuellement des petits carrés de 30 grammes (pour un total de 10 carrés). Celui-ci est vendu au prix de 30 euros.

Pour ma part, j’ai acheté le bloc de 300 grammes que j’ai ensuite découpé en morceaux de +/- 30 grammes chacun, avant de les congeler. Pour le transport, j’emballe un carré de chocoroc dans un de mes Bee’s wrap, un emballage alimentaire réutilisable à la cire d’abeille #zerodechets. Cela permet de conserver la fraicheur de la bouchée, tout en assurant un transport de qualité. Wild&Run a un partenariat avec Simonette à bicyclette qui propose des emballages réutilisables similaires. Ca vaut le coup d’investir 🙂

Anne-Christine en est encore à ses débuts et le chocoroc est pour l’instant uniquement disponible via pré-commandes. Il faudra donc patienter une petite semaine avant de pouvoir l’avoir entre vos mains… mais la fraicheur sera plus que garantie ! Pour passer commande du chocoroc, il suffit de contacter Wild&Run via sa page Facebook.

Et pour une foodie et sportive comme moi, je n’ai qu’une chose à dire : foncez, le chocoroc a vraiment tout bon !